22 et 23 juillet Bay Ste-Lawrence à White Pointe à Ingonish

22-23 juillet

D’abord le 22.

En passant merci des mots que vous nous laissez!! À partir de maintenant ce devrait être plus facile d’aller sur Internet. Aujourd’hui (le 23) c’était un vrai charme. Je vous raconte plus tard.

Je vais faire le récit des 22 et 23 dans la même page simplement parce qu’elles n’ont pas été de grandes journées de vélo.

Au total: 80 km de voyage et 20 km de plus de viraillage (surtout pour moi). Nous voulons simplement profiter du fait que nous sommes dans les hautes terres alors on étire le temps passé ici.

Donc ce bon matin du 22, on se lève et c’est la belle pluie. Nous avions prévu le coup la veille en montant la tente sous cet abri. Nous sommes prêts du départ et nous allons nous habiller pour se garder au chaud même mouillés.

Je ne suis pas trop photographe lorsqu’il pleut. Encore chanceux d’avoir cette caméra sur le casque qui prend des photos aussi. Elle est étanche à l’eau alors c’est parfait. Nous avons roulé jusqu’à Cape North (fallait revenir de Bay Ste Laurence) et nous nous sommes arrêtés là pour quelques heures. Nous attendions en fait après le monsieur du B & B de White Pointe. Avoir su nous nous serions levés plus tard mais bon. Rendu à Cape North nous avons passé du temps dans un centre communautaire. Pour la patinoire on repassera mais le site est renommé pour le ski de fond. D’ailleurs c’est ici qu’a eu lieu l’épreuve de cette discipline dans les jeux du Canada 87. Les images que vous voyez c’est lorsqu’on s’est remis à rouler, en fin d’après midi vers White Point donc.

Et bien pour une vue comme celle-ci, je sors l’appareil photo!! White Point c’est la pointe juste devant, on arrive déjà.

C’est un B & B bien correct. Après une pluie comme aujourd’hui, on se passe de la tente.

Après le souper nous sommes allés prendre une marche. Guylaine connait bien les chants d’oiseaux et elle me nomme c’est qui l’oiseau qui chante. Très intéressant! Voici le bout de la pointe. Au bout, c’est plutôt une ile.

Le 23

Le beau temps est revenu et aujourd’hui sera une journée “on se rend à la plage” et pas plus. Bah c’est une idée de Guylaine et c’est bien correct. Tout seul et par une si belle journée je me serais bien fait une plus grande journée de vélo mais tout compte fait, pourquoi pas prendre ça cool. Nous ne roulerons que très peu et aurons l’après midi pour autre chose.

Neils Harbour

De Neils Harbour on peut voir au fond complètement la dernière grosse côte de ce voyage. J’en reparle en temps et lieu. Notre chemin s’arrêtera avant cette montée aujourd’hui. J’ai tout de même du mal à me faire à l’idée.

Pour le diner et le souper nous avons mangé au même endroit à Ingonish et nous nous sommes bourré la face rare dans les fruits de mer. Hmmmm. Voyez comme j’ai l’air à tripper sur le menu! Vraiment c’était bon. Mais le service: assez pourri. Nous avons attendu assez longtemps que j’ai pris un coup de soleil sur le bras gauche. Et oui, j’ai les deux bras pas de la même couleur.

Bon, ici une image qui vaut 1000 $ de moi. Pas que je veux vous montrer mon beau bronzage mais plutôt, je suis assis et je ne fais rien. En plus, je bois un coke. Ayaye. Je ne suis pas resté longtemps comme ça. Je me suis levé d’un bon et je suis allé me jeter dans les belles grosses vagues. Et en après midi juste avant, j’ai quand même fait du viraillage à vélo tout autour. C’est juste que lorsqu’il fait beau et que je suis en vacances, c’est difficile pour moi de ne pas être sur un vélo. Guylaine a passé l’après midi à la plage et elle s’est pris plein de coups de soleil!

Je vous raconte une anecdote qui en fera sourire au moins trois. Cet après midi, je suis allé mettre en ligne la page du 21 juillet. C’était dans une bibliothèque. Et oui, du rayonnage Montel (ce que je vends). J’expliquais à Guylaine, après, sur la plage, qu’un docteur qui voit un blessé va sortir de ces vacances pour porter secours. Et bien moi c’est pareil. (non mais qu’elle comparaison) J’ai fait un petit pitch de vente à la bibliothécaire qui s’est empressé de me dire qu’elle n’avait pas besoin de rien. Alors je me relance à la Columbo (tu fais mine que tu n’as plus rien à dire, bouche B, mais voilà): “Madame pour vos tablettes non perforées le manufacturier Montel offre des diviseurs avec base magnétique. Ils sont plus faciles à manipuler que vos diviseurs en broche et vos livres se briseront moins” – ” Ah Oui? Je prends l’adresse en note! Merci!! Ça m’intéresse!! ” Et voilà. Personne n’a besoin de rien.