Voyage Oregon 2007 Partie 4: Where’s waldo?

Notre avant dernière journée de ride du voyage était à Waldo Lake et nous étions accompagné par notre nouveau `Patner: Mike, le frère de John.

Notre énorme et super bling bling pickup a vraiment fait la job pour trimballé tout ce monde et tout ces vélos pendant le voyage.

Quel étrange et surprenante ride nous avons fait autour du lac Waldo!

Nous commencions par traverser une forêt qui a bruler il y a quelques temps. C’était à la fois bizarre et magnifique.

Je crois que Waldo à dû périr dans cette forêt en feu car son fantôme frustré nous a causé certain problème mécanique. L’ajustement de débattement de ma fourche à sauter, j’ai eu un flat et surtout: Le maudit Waldo a introduit une branche dans le dérailleur d’Isa et tout a arraché!

De plus le maigrichon waldo stripé de rouge avait enlever la patte de dérailleur de rechange que Tony traine toujours avec lui. Nous avons dû convertir le Titus en singlespeed. Nous avons racourci la chaine et gonflé la suspension à block pour ne pas qu’elle agisse sur la longeur de chaine. Isa ne croyait pas trop en ces capacités de singlespeedeuse…

Nous avons terminés la traversé de la forêt hanté. Les vues sur le lac à l’eau émeraude était sublime.

Autour du lac, il y a des pistes accessible par les vélos qui partent dans tout les directions, un vrai paradis.

Isa a vraiment été la vedette de la journée, elle a “crinker” son simple pignon avec une facilité déconcertante. Elle talonnait toujours quelqu’un dans les montées et comme insulte suprême, elle leur jasait ça sans la trace d’essoufflement. Encore une preuve qu’on apprend beaucoup à rouler un singlespeed, on est beaucoup plus fort qu’on pense!

Isa à Waldo: Va donc jouer anonymement dans une foule disparate et camouflante.

Notre randonnée d’au revoir était de nouveau dans le réseau de sentier près de Bend. Une chose de très différente de rouler dans l’ouest c’est que les pistes ne sont pas seulement trippante, elle offre aussi un décor spectaculaire.

La piste traversait des prairies fleuries et des forêts de pins. Le tout dans un millieu chaud et très très sec.

Sur le retour il y avait des berms et quelques stunts pour combler ce voyage qui était déja parfait.

De quoi sourire en s’en faire sécher les dents.

Il était maintenant le temps de démonter tout ces beaux vélos pour le voyage du retour.

Quel belles vacances se fut pour nous. Peut-être nos premières vraies vacances car on venait de comprendre la différence entre voyage et vacances….

Nous sommes vraiment maniaque de voyages mais desfois on est dû pour des vacances!

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